Mylène Farmer - Chanson Je voudrais tant que tu comprennes
Je voudrais tant que tu comprennes est une chanson de l'album live En Concert (1989).
Paroles &
Influences
Paroles de Georges Pirault.
Lire les paroles de Je voudrais tant que tu comprennes
Le saviez-vous ?
Je voudrais tant que tu comprennes est la reprise d'une chanson de 1965 interprétée par Marie Laforêt que l'on peut retrouver sur l'album Manchester et Liverpool sorti en 1967.
C'est Bertrand Le Page le manager de Mylène à l'époque qui est à l'origine de cette reprise :
"
Je disais toujours à Mylène qu'il fallait qu'elle fasse des reprises. Un jour, je lui ai prêté tous mes disques de Marie Laforêt, car j'avais envie qu'elle chante trois chansons que j'aimais beaucoup. Cependant, je ne lui ai pas dit lesquelles. Elle m'a rappelé en me disant je vais chanter Je voudrais tant que tu comprennes, qui était une des trois choisies. C'est là qu'on se rend compte de ce que signifie le mot complicité" ("Platine" - 1994)
Bertrand Le Page a également indiqué que Je voudrais tant que tu comprennes devait figurer en Face B du 45 tours Sans Logique mais qu'elle sera remplacée par Dernier Sourire malgré son insistance et celle de l'éditeur. La version studio de Je voudrais tant que tu comprennes par Mylène reste totalement inédite à ce jour.
Musique & Versions
Musique composée par Francis Lai.
Mixage : Thierry Rogen
℗ 1989 Toutankhamon
©1989 Polydor
Une version
Plus de détails dans la remixographie Je voudrais tant que tu comprennes
Médias
Aucune prestation télévisée sur Je voudrais tant que tu comprennes.
Concerts
TOUR 89
Je voudrais tant que tu comprennes a
été chantée sur toutes les dates du Tour 89.
Arrangements pour la scène : Laurent Boutonnat.
Arrangements pour la scène : Laurent Boutonnat.
"
Je voulais maintenir une certaine distance avec le public. Parce que le racolage n’est ni dans mes principes ni dans ma nature. Mais en chantant Je voudrais tant que tu comprennes, que j’ai emprunté à Marie Laforêt, j’ai senti les larmes me monter aux yeux. Les premiers soirs, j’ai refusé de les laisser couler. Puis, j’ai fini par admettre que cette fausse pudeur n’était que lâcheté, devant un public qui demandait des émotions vraies." ("Télé 7 Jours" - 27/11/1989)
