Les années Anamorphosée et Tour 1996
Angeline's, le 23/09/1996
L’idée de l’adoption me plaît. J’ai toujours été perturbée par la « prolongation de soi », mais maintenant, je peux y penser. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
J’ai fait appel à une équipe créative quant aux images et, je leur ai demandé, pour ne parler que des images, de l’abstraction pour habiller toutes les chansons. Quant aux chorégraphies, j’en ai fait quelques-unes. J’ai fait appel également à un chorégraphe français, qui est également sur scène, qui est un des danseurs de travailler sur certaines chansons. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
Je voulais que ce soit un spectacle qui soit agréable pour les gens, étonnant, et assez complet. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
Quand j’ai évoqué l’araignée, j’ai eu envie d’écrire sur cette petite Alice, je pensais à la face, au visage noir de l’artiste, ce que peut ressentir l’artiste, l’autodestruction de l’artiste ; donc cette envie de dire à cette araignée de s’effacer, de partir. Maintenant, est-ce que tout le monde a compris ça ? Et, ce n’est pas très, très grave dans le fond. J’avais envie d’évoquer une araignée. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
Il y a plus de guitares, c’est plus ce qu’on appelle ‘live’, moins d’instruments synthétiques. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
Des moments, comme ça, dans sa vie où on veut s’échapper d’une normalité, de choses qui sont routinières. Donc, envie de partir, du voyage. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
L’anonymat, ça apporte toujours. On se restructure, oui, d’une certaine façon parce qu’il y a des passages, comme ça, dans sa vie d’artiste, où on a besoin, oui, d’être isolée, d’être loin de son métier, si je puis dire, de son identité, en tout cas, de chanteuse. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
Je ne me prends pas au sérieux, mais essaie de faire les choses très sérieusement. J’ai toujours la même distance d’avec ce que je fais, malgré tout. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
Ma façon de voir la vie est plus sereine, peut-être, aujourd’hui. Un peu plus tendre. |
XXELLE - Musique Plus, le 05/10/1996
J’étais hantée par la mort dans le passé, au point de se lever tous les matins et d’envisager sa mort, ou la mort du voisin, ou de ses proches. Mais, j’avoue que c’est quelque chose qui me hante moins, qui m’intéresse toujours autant en revanche. |