Les années Anamorphosée et Tour 1996
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
J’aime les choses rares, j’ai besoin d’une émotion qui soit grande. Voilà pourquoi je choisis de faire peu de scène et, qu’à chaque fois, c’est une émotion qui est très étonnante. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Ce contact avec le public, c’est, j’oserais dire, ce pour quoi je vis. Ce sont des moments extraordinaires et, j’ai vraiment besoin de ça pour continuer. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
C’est un travail de longue haleine. J’ai un entraînement physique, et puis, c’est un travail de conception. C’est passionnant à faire. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Quand je suis partie aux Etats-Unis, j’avais envie de faire une coupure entre ma vie à Paris, ma vie professionnelle. J’ai souhaité voyager, ne plus penser à moi, ne plus penser à mon métier et, j’ai également enregistré l’album Anamorphosée là-bas, j’ai fait des rencontres. Ça a été important pour moi. Je ne sais pas si c’est Los Angeles qui m’a changée, je ne le pense pas. C’est simplement l’idée du voyage, l’idée de l’oubli de soi, et la réflexion et puis un changement qui s’effectue naturellement. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Je trouve qu’elle a beaucoup, beaucoup de talent. La comparaison est facile, en ce sens que c’est une personne de sexe féminin, qu’elle aime les danseurs, qu’elle aime le show dans sa tradition. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
J’avoue que je lis peu ce qu’on écrit sur moi. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Je crois que j’aimerais faire un autre film. J’ai eu quelques rencontres mais, j’avoue que je ne me projette pas dans le futur. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Deux soirs à Bercy. Ensuite, une tournée. Je crois que j’ai vingt-deux dates, vingt-deux concerts. Je vais également à Bruxelles, tous les pays francophones. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Je préfère qu’on ne me qualifie pas ! |
Studio Gabriel - France 2, le 29/05/1996
Des bouffées d’amour, ou d’agressivité, c’est toujours quelque chose de très, très porteur et très déstabilisant. |