Les années Anamorphosée et Tour 1996
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
La beauté, c’est la générosité. Je trouve belle Marie de Hennezel, auteur de La mort intime. C’est quelqu’un qui irradie et dégage quelque chose d’étonnant. Quant à moi, je crois sans narcissisme ni prétention, être belle à l’intérieur dans le sens où je pense n’avoir jamais fait de mal sciemment à quelqu’un. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
Ma définition de l’amour ? L’envol. C’est vrai que, dans le fond, si on me demandait sous la torture quelle est la chose la plus essentielle, c’est cette chose que je demanderais. Ce ne serait ni mon métier, ni la reconnaissance, mais l’amour. L’idée du partage. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
Si je devais emporter une seule chanson sur une île, ce serait Don’t give up, le duo de Kate Bush et Peter Gabriel. Et bizarrement, je pense à d’autres titres qui ne sont pas nécessairement des chansons d’amour comme des titres de Neil Young qui a, par ailleurs, bien chanté l’amour. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
J’ai été profondément bouleversée L’important, c’est d’aimer de Zulawski. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
Je pense être possessive. Ce qui engendre et entraîne la jalousie. Ça se manifeste parfois par de la colère. Une colère intérieure surtout et parfois exprimée. Mais il vaut mieux l’exprimer que la garder pour soi. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
Ce que je regarde en premier chez un homme : très honnêtement, je crois, ses mains et bien sûr son regard. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
La trahison est impardonnable en amour. Sans doute. Et puis aussi l’irrespect. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
Je ne sais pas si j ai des mots d’amour favoris. Je crois que le mot ne viendra pas parce que ce sera quelque chose de difficile pour moi. Ce sera plutôt un geste. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
À l’école, j’avais tenté d’apprendre le russe. Et je n’avais retenu que trois ou quatre formules dont « Je t’aime » que j’ai écrit et remis à quelqu’un. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
Je pense que c’est plutôt embarrassant parfois parce qu’on vous emprisonne sur un papier et que le sentiment n’est pas emprisonnable. C’est quelque chose que je ne considère pas comme très utile et qui, moi, m’emprisonnerait. J’aime l’idée de l’anneau passé au doigt et, en même temps je n’aime pas ce que ça représente. C’est conflictuel. |