Les années Anamorphosée et Tour 1996
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
J’ai lu un livre qui s’appelle Le livre tibétain de la vie et de la mort et qui parle de cet apprentissage que de ne pas craindre et être obsédé, hanté par l’idée de la mort. Et, l’idée peut-être d’une autre vie, également, après la mort, ce n’est pas une fin en soi. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
Avec un vrai recul sur moi-même. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
La joie, ce sont des moments très, très, très furtifs. Et ce peut être tout et n’importe quoi. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
Mon silence est la cause de papiers, ou de choses qui sont, ou vraies ou fausses. J’ai un recul suffisant pour, ou ne pas être heurtée, ou prendre ça justement avec un certain recul. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
Il y a une presse que je n’aime vraiment pas du tout, c’est la presse, et je ne parle pas de moi d’ailleurs, qui attaque physique et choses extrêmement privées ou personnelles. Ça, c’est assez inadmissible. Le reste, peu m’importe. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
C’était l’idée, la tête étant inexistante, de l’esprit qui s’échappe. Et c’est un peu le parcours que j’ai eu, en tout cas cette initiation que j’ai eue pendant quatre années, d’avoir l’esprit qui voyage. (à propos de la photo de la pochette de l’album Anamorphosée, ndlr) |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
L’anonymat, c’est parfois agréable. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
Un animal apporte beaucoup de choses. C’est un compagnon, ce sont des jeux, ce sont autant de choses qui font que ça provoque un sourire. |
Déjà le retour - France 2, le 17/12/1995
C’est vrai que j’avais besoin absolument de faire un long métrage, de faire un film, de jouer. Donc, en ce sens, j’avais l’impression que si je ne pouvais pas atteindre cette chose-là, c’était une mort en soi. Vous dire que demain, je me serais suicidée, non, probablement pas. |
Europe 2, le 21/12/1995
Très, très peu de souvenirs ! Très vagues, si ce n’est que j’ai le souvenir de la neige, en tout cas ce goût de la neige, probablement de sa blancheur, de sa froideur et, je crois, quelques odeurs, quelques goûts. Le sirop d’érable est un goût que j’ai redécouvert en France. Sinon, j’avoue que c’est à peu près tout ! |